Après "l'ex-libris en tampon pour livre d'enfant", j'ai gravé un tampon pour mes livres.
Le cahier des charges était assez précis:
. J'avais une envie d'arbre peut être à cause du double sens du mot "feuille" ou de la provenance du papier....
. Je voulais que le tampon occupe le coin d'une page, pour pouvoir couper cet angle facilement dans le cas où le livre parte vers d'autres cieux.
. Il fallait aussi prévoir une plage libre pour écrire le nom.
Après encrage,
Et le tampon est collé sur du bois.
J'aime aussi noter l'année de lecture du livre, le temps file si vite....
mardi 31 mai 2016
vendredi 20 mai 2016
La double vie du citronnier....
Notre citronnier (ramené avec beaucoup de précautions et d'attention de Toscane il y a quelques années) avait plutôt bien supporté les derniers hivers, rentré à temps dans le garage.
Mais cette année, dès le début octobre il avait perdu en quelques jours l'intégralité de ses feuilles !
Plus une seule.
Rien, le néant, le vide sur sesmembres branches dénudées.
Seuls deux citrons vestiges d'un temps heureux rétrécissaient à vue d’œil, telles des poches de perfusion et signaient l'état comateux de notre beau citronnier.
Les mois s'écoulant, j'étais sûre qu'aucun retour en arrière ne serait possible.
Je pensais le coma dépassé...
Que l'on regarde d'un côté,
de l'autre, les branches étaient vides, pas une feuille, seulement quelques épines.
Il ne nous avait jamais fait une chose pareille...
C'était sans compter sans l'optimisme et la ténacité de Mr LPV, qui garde toujours la moindre petite plante en pot, la brindille la plus maigrichonne devenue très moche... si moche que la jetterais bien volontiers.
Il a régulièrementperfusé arrosé notre squelettique citronnier.
Nous sommes plusieurs à être venus à son chevet, à nous être penchés sur le bord de sonlit pot, à avoir hoché la tête, septiques quant aux espoirs de Mr LPV, bien persuadés que "tout était foutu".
Après des mois et des mois de cette vie végétative nous l'avons remis en plein air mi-avril, toujours aussi mort semblait-il. Je n'aurais pas parié un penny sur une quelconque résurrection.
Et est-ce la présence de l'oiseau de fer forgé son compagnon des mauvais jours qui devait lui susurrer "Tiens bon" lors de son coma, sont-ce les très faibles rayons de soleil, est-ce l'espoir que Mr LPV avait mis en lui.....
Quelle ne fut pas notre surprise un mois après sa sortie de voir renaitre notre grand malade !
Une multitude de minuscules petites pointes de feuilles explosait le long de ses membres décharnés, belle promesse d'une feuillure abondante !
J'avoue qu'une fois de plus, la nature m'a donnée une belle leçon !
Il est vrai que l'on est toujours épaté par ce printemps qui revient chaque année avec son engagement sans failles, et sa belle déclaration de vie.
Même si le rendez-vous annuel des fleurs de notre pommier avec les abeilles est une promesse devenue de plus en plus fragile...
Mais cette année, dès le début octobre il avait perdu en quelques jours l'intégralité de ses feuilles !
Plus une seule.
Rien, le néant, le vide sur ses
Seuls deux citrons vestiges d'un temps heureux rétrécissaient à vue d’œil, telles des poches de perfusion et signaient l'état comateux de notre beau citronnier.
Les mois s'écoulant, j'étais sûre qu'aucun retour en arrière ne serait possible.
Je pensais le coma dépassé...
Que l'on regarde d'un côté,
de l'autre, les branches étaient vides, pas une feuille, seulement quelques épines.
Il ne nous avait jamais fait une chose pareille...
C'était sans compter sans l'optimisme et la ténacité de Mr LPV, qui garde toujours la moindre petite plante en pot, la brindille la plus maigrichonne devenue très moche... si moche que la jetterais bien volontiers.
Il a régulièrement
Nous sommes plusieurs à être venus à son chevet, à nous être penchés sur le bord de son
Après des mois et des mois de cette vie végétative nous l'avons remis en plein air mi-avril, toujours aussi mort semblait-il. Je n'aurais pas parié un penny sur une quelconque résurrection.
Et est-ce la présence de l'oiseau de fer forgé son compagnon des mauvais jours qui devait lui susurrer "Tiens bon" lors de son coma, sont-ce les très faibles rayons de soleil, est-ce l'espoir que Mr LPV avait mis en lui.....
Quelle ne fut pas notre surprise un mois après sa sortie de voir renaitre notre grand malade !
Une multitude de minuscules petites pointes de feuilles explosait le long de ses membres décharnés, belle promesse d'une feuillure abondante !
J'avoue qu'une fois de plus, la nature m'a donnée une belle leçon !
Il est vrai que l'on est toujours épaté par ce printemps qui revient chaque année avec son engagement sans failles, et sa belle déclaration de vie.
Même si le rendez-vous annuel des fleurs de notre pommier avec les abeilles est une promesse devenue de plus en plus fragile...
vendredi 13 mai 2016
L'étagère vintage style Tomado relookée #1 (tuto)
Dans le monde des étagères très en vue en ce moment, on voit des "String", des "Tomado" et des "style String" ou "style Tomado" beaucoup plus accessibles que leurs fausses jumelles!
J'avais trouvé en brocante, pour quelques euros, un lot "style Tomado" montants noirs, étagères noires en métal, bien empaquetées qui, une fois ouvertes à la maison, se sont révélées en très bon état. Mais impossible de les utiliser sans transformation, le pan de mur devant les accueillir était plus étroit que la largeur des étagères.
Voici donc l'étagère après transformation :
Trois planches de 18 mm d'épaisseur ont été coupées, poncées et vernies avec un vernis mat incolore (V33).
Les montants ont été bombés avec une peinture blanche acrylique brillante (j'ai découvert à cette occasion que les peintures en bombe pouvaient être acryliques).
Pour solidariser les montants et les planches, une petite vis a été placée sur l'arrière des trois planches à chaque jonction.
La petite étagère est accrochée au mur avec des vis passant entre les montants (comme pour la fixation des planches).
Tout un petit bazar (pailles, verre doseur, sucettes pour les Loulous, sachets de levures...) s'est installé bien en vue et à portée de main.
Je découvre sur les photos agrandies...quelques retouches de peinture à faire !
J'ai essayé un tout autre look pour garnir cette petite étagère, plus doux, plus pastel qui fera l'objet d'un prochain article...
Pots Henkel, pommes, coupelle de verre : Brocante.
Pot rouge : Ikéa il y a longtemps !
J'avais trouvé en brocante, pour quelques euros, un lot "style Tomado" montants noirs, étagères noires en métal, bien empaquetées qui, une fois ouvertes à la maison, se sont révélées en très bon état. Mais impossible de les utiliser sans transformation, le pan de mur devant les accueillir était plus étroit que la largeur des étagères.
Voici donc l'étagère après transformation :
Trois planches de 18 mm d'épaisseur ont été coupées, poncées et vernies avec un vernis mat incolore (V33).
Les montants ont été bombés avec une peinture blanche acrylique brillante (j'ai découvert à cette occasion que les peintures en bombe pouvaient être acryliques).
Pour solidariser les montants et les planches, une petite vis a été placée sur l'arrière des trois planches à chaque jonction.
La petite étagère est accrochée au mur avec des vis passant entre les montants (comme pour la fixation des planches).
Tout un petit bazar (pailles, verre doseur, sucettes pour les Loulous, sachets de levures...) s'est installé bien en vue et à portée de main.
Je découvre sur les photos agrandies...quelques retouches de peinture à faire !
J'ai essayé un tout autre look pour garnir cette petite étagère, plus doux, plus pastel qui fera l'objet d'un prochain article...
Pots Henkel, pommes, coupelle de verre : Brocante.
Pot rouge : Ikéa il y a longtemps !
mardi 3 mai 2016
Le menu de mariage .
Si les plats servis ont leur importance, la décoration des tables contribue largement à un beau souvenir de l'évènement.
Pour le mariage de notre grande fille, j'avais réalisé des menus assez faciles à mettre en œuvre, et que les invités avaient appréciés.
J'ai plié en deux une feuille de papier Canson blanc (21 x 29,7) au grammage assez élevé 180 ou 200.
Le menu avait donc pour dimensions 21 x 15.
Le feuillage a été découpé dans un camaïeu de feuilles Canson vertes.
Pour faire courir la guirlande de feuilles, j'ai utilisé un fil de fer ultra fin, vendu dans le magasin de loisirs créatifs en bobine sous le nom de "fil pour bijou à crocheter". Il existe dans différentes couleurs, j'ai choisi une couleur sobre, argentée. Il est plus fin que "le fil à lier les fleurs" dont je vous parlais ICI.
Il permet de monter peu à peu la guirlande et par sa finesse autorise de petites torsades (faciles à faire avec une petite pince): on réalise un petit trou dans la feuille, on passe le fil dans ce trou et très délicatement on tourne pour obtenir la petite torsade qui jouera le rôle de tige pour la feuille.
C'est la partie la plus difficile de l'opération : pas de gestes brusques, beaucoup de précision car si on déchire la petite feuille au niveau du trou...il faut tout recommencer !
J'ai rajouté de petites feuilles nervurées opaques, achetées il y a très longtemps à "la Droguerie".
La tige est retournée à l'intérieur du menu et tenue à cet endroit par un point de colle.
Pour que la guirlande de feuilles reste plaquée (mais animée tout de même), il suffit de coller une feuille à mi hauteur. Du Canson vert, imprimé et collé à l'intérieur donne la composition du menu.
Les jeunes mariés souhaitant une création épurée, le mot "Menu" a été écrit en relief à l'embossoir.
Les menus sont ici en place, au centre de chaque table, où ils ont rejoint des fleurs... vertes et blanches !
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